ou presque, car le premier des premiers date de l’école primaire avec un métier à tisser confectionné par l’autorité paternelle avec une planche et des clous (impossible de remettre la main dessus d’ailleurs). Donc après LA trouvaille qui fait plaisir dans un vide grenier, le métier à tisser à 3€, me voilà presque équipée pour m’y replonger. Je sais que je n’ai pas le bon fil. Le bracelet est trop mou, trop lâche et l’attache semble bien fragile. Et le problème des perles de rocailles est qu’elles sont très irrégulières. Les miyukis ne vont pas tarder à passer entre mes mains je le sens.
Pas très convaincant me direz-vous… mais c’est en forgeant qu’on devient forgeron.
J’avais pris soin de griffonner mon arbre sur une grille « exprès fait pour » et la longueur des rocailles à allonger considérablement le motif… tant pis, je montre quand même fièrement le résultat. Et on fera mieux la prochaine fois.